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"De Beltaine à Pâques, la Porte du Renouveau"

Publié le mercredi 23 avril 2014


JC Cappelli

Jean Claude Cappelli, Druide, lors de sa conférence sur "Les symboles celtes"


Ozégan

Ozégan et "les contes et légendes du Grand Cerf Blanc" et autres récits de sagesse de l’ancien temps.


L’alchimie de l’offrande du Sang du Christ sous ses formes physique et métaphysique est évoquée à travers le thème du Graal et du tableau officiel dit de "La Miséricorde Divine" que j’ai peint il y a quelques années. Sculpture de bois et peinture à l’huile se complètent et se répondent. Le Graal est-il simplement un objet, un calice particulier sanctifié par la présence du sang du Christ, est il une résurgence du chaudron d’abondance des celtes ou de la corne d’abondance de l’antiquité à travers lesquels les dieux de l’époque déversaient déjà leurs bienfaits sur l’humanité, ou est il en chacun de nous à condition que notre cœur devienne lui même un vase ? "La Porte est en dedans" disait l’Abbé Gillard. Le tableau de la Miséricorde Divine a été peint à la demande du Christ, suite à une apparition à sœur Faustina dans un couvent de Pologne en 1931. Apparaissant tel que sur le tableau Il dit à sœur Faustine, "peins un tableau de ce que tu vois", puis plus tard en 1934 Il expliquera ; " le rayon pâle signifie l’Eau qui purifie les âmes ; le rayon rouge signifie le sang qui est la vie des âmes". "Je promets que l’âme qui honorera cette image ne sera pas perdue."..."Moi-Même je la défendrai comme Ma propre gloire".
"Je donne aux hommes un vase avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de la miséricorde. Ce vase c’est cette image avec l’inscription ; Jésus j’ai confiance en Toi" (petit journal de Sœur Faustine 327)
En 1931 l’Abbé Gillard se "construisait" dans sa vie de prêtre si particulier, lui qui fut un contemporain de cette apparition...